1 décembre 2017/Communiqués de presse

L'arnaque fiscale du GOP nuira au Connecticut. Les Républicains qui veulent gouverner le Connecticut s’en moquent.

Hartford, Connecticut. – Les effets négatifs du projet de loi fiscale du GOP que les Républicains tentent de faire adopter au Sénat ont été bien documentés. Cette escroquerie fiscale nuira au Connecticut, mais les républicains candidats au poste de gouverneur – à l’exception de Tim Herbst, qui soutient le projet de loi – ont refusé de dire un mot. Le président du Parti démocrate du Connecticut, Nick Balletto, a publié la déclaration suivante.

«C'est clair et simple. Ce projet de loi pue pour le Connecticut. Des milliers d’habitants du Connecticut perdront leur assurance maladie, un nombre encore plus élevé paieront des impôts beaucoup plus élevés et l’accès à l’enseignement supérieur sera encore plus difficile pour les étudiants du Connecticut – tout cela pour donner des cadeaux massifs aux grandes entreprises et aux très riches. C’est une politique épouvantable qui montre à quel point les priorités du Parti républicain sont rétrogrades.

« Le prochain gouverneur devra faire face aux implications négatives de cette désastreuse escroquerie fiscale. Pourtant, les candidats du GOP refusent de s'exprimer.

« Soyons très clairs : les habitants du Connecticut ont démontré qu'ils voulaient un leader qui se battra pour eux au bureau du gouverneur. Ils veulent un combattant qui défendra réellement leurs intérêts et ceux de leurs familles. Mais, à maintes reprises, les républicains du Connecticut et leurs candidats au poste de gouverneur ont montré qu’ils ne se battraient pas si cela signifiait contrecarrer Donald Trump ou le Parti républicain national. Comme ils l’ont fait lors du débat sur les soins de santé et comme ils l’ont fait lorsque la discrimination est autorisée, voire encouragée par la Maison Blanche, ces dirigeants républicains se cacheront. Ils espèrent que personne ne remarquera qu’ils refusent catégoriquement de choisir le bien-être de la population du Connecticut plutôt que leur loyauté envers un parti. Ces disqualifications doivent être au cœur des élections de l'année prochaine.»